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Patrick Devedjian

Patrick Devedjian, né le  août 1944 à Fontainebleau  en France est un avocat et homme politique français.Il est actuellement président du conseil départemental des Hauts-de-Seine et député de la 13e circonscription-շրջան des Hauts-de-Seine.
Avocat au barreau de Paris (1970).
Co-fondateur de la revue libérale Contrepoint.
Vice-Président du Mouvement européen (France) .
Auteur de Le Temps des Juges (1996, Flammarion), de Penser la Droite (1999, Coll. "Tribune Libre", Plon) et de A moi le ministère de la parole ! (entretien avec Emmanuel Kessler, 2006, Editions de l'Archipel).
Mon père était né à Sivas en Turquie, il est venu en France en 1919, après le génocide arménien de 1915, auquel sa famille a échappé grâce à un voisin turc, il parlait 7 langues.
Ma mère était française,  elle est morte accidentellement quand j’avais 6 ans. Mes grands-parents maternels et paternels m’ont choyé-նվիրված et aimé, mais rien ne remplace la tendresse d’une mère.
Famille
 
En 1969, j'ai épousé Sophie Vanbremeerch. Nous avons eu 4 enfants, nous avons la chance d'avoir aujourd'hui 10 petits-enfants. Ma famille est le pilier -սյուն de ma vie. 
 Լa France est un pays vraiment ouvert puisqu’elle a permis que je devienne maire, député et ministre alors que mon père n’était pas français. Cela n’empêche pas que je sois très attaché à mes origines arméniennes. Je raconte tout cela pour donner de l’espoir à mes compatriotes qui ont le sentiment que l’immigration est un danger.
J’ai eu la chance de rencontrer Raymond Aron, qui m’a ouvert l’esprit : c’est grâce à lui que je suis  devenu libéral et démocrate, que je me suis situé politiquement à droite : la gauche et la droite républicaines sont toutes les deux attachées à la liberté et à l’égalité. Mais quand celles-ci entrent en conflit, ce qui arrive nécessairement, la gauche arbitre en faveur de l’égalité et la droite en faveur de la liberté. Je révère l’égalité, mais, quand il faut choisir, je choisis la liberté. Voilà pourquoi je suis de droite.
 
 Maire d'Antony
En 1978,  dans les Hauts-de-Seine on m’a proposé de reprendre une ville devenue communiste en 1977, Antony et j’ai décidé de m’y installer : cela a été une bataille dure et difficile, mais je me suis battu pour que la liberté des Antoniens soit respectée, pour que leur vote soit respecté. 
 
'j’aime cette ville d'Antony, longtemps méprisée par l'administration parisienne comme une "ville dortoir". Je me suis battu pour que tous s'y sentent bien, pour qu'elle devienne de plus en plus belle et agréable à vivre, pour qu'elle soit animée par sa vie commerciale et économique, pour qu'elle garde sa diversité sociale, pour qu'elle ait une vie culturelle, associative, sportive qui rassemble et élève. Aujourd'hui, grâce à l'action de Jean-Yves Sénant et des équipes municipales qui m'ont succédé, j'ai le sentiment que nous sommes sur la bonne voie et que les Antoniens sont heureux dans une ville qu'ils aiment !